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Le delta, pays des Macariens ...
Après une semaine de marche nous arrivons dans un paysage beaucoup plus plat et humide de marécages nauséabonds ou pullulent une multitude de moustiques avident de sang comme nous ne tarderons pas à le découvrir, à nos dépends.
114ème jour
En suivant le méandre d'un bras du delta nous avons rencontré un groupe d'une dizaine de personnes, affairées à la construction d'une habitation. Les hommes ont fait rentrer les femmes et sont venu vers nous méfiant et armés. Le Pr Monos a tenté de leur parler avec ses quelques rudiments de Dactes, les hommes sont restés dubitatifs et ont seulement prononcé les mots "makar, makar" nous les avons appellés Macariens tout en devinant de par leurs jestes que ce mot n'est pas bienvennue...
Paysage du Delta de ce qui semble être un immense fleuve. (photo de p.e. Viktor)
126ème jour
Pas d'autre rencontre depuis le petit groupe, nous traversons des maraicages effrayant par leur composition putride, le Pr Binokhès est malade, une grande fièvre la prise depuis plusieurs jours, nous sommes tous très inquiet et moins attentif à l'étude du milieu...
142ème
La rencontre de ce matin avec des pécheurs macariens nous a fait du bien, voila déjà quatre jours que nous avons quitter le corps sans vie de Iulieta.
Les pècheurs nous emmènent jusqu'à leur village ils ne semblent pas bélliqueux, du moins par rapport aux guerriers qui circulent dans le village. Le Pr Monos pense qu'ils vivent dans
un système pyramidal, roi-guerriers-pêcheurs, de domination et de tabous multiples. Ugos réalise un dessin de nos pêcheurs repartant dans leur barque.
Guerriers Macariens vu dans le delta. (Dessin de k.Basingeris)
179ème jour
La suspicion à notre égard se fait de plus en plus grande et la nervosité des guerriers macariens est de plus en plus apparente. Les infructueuses tentatives des Pr Monos et Otolès pour communiquer n'y changent rien nous ne sommes pas les bienvennus, seul les pêcheurs nous regardent avec amitié comme si ils attendaient quelque chose de nous, hélas nous ne saurions les aider...
192ème jour
Nous avons déscidé de partir pendant la nuit en utilisant les barques à fond plat des pécheurs, il semble en éffêt que nous soyons plus considéré comme des prisonniers que comme des visiteurs, une échauffouré à faillit éclater hier entre Rikardos et un guerrier qui cherchait à s'emparer de son fusil.